Presque quotidiennement, ils sont témoins de situations dramatiques, rassurent des gens en détresse et interviennent en gardant la tête froide. Puis, à un certain moment, ils ont eu besoin d’aide à leur tour. Le poids de leur uniforme pèse lourd et parler de santé mentale est encore tabou. Aujourd’hui, ils acceptent de lever le voile.
Un article de Charles-Edouard Carrier, à lire dans La Presse.ca.