L’équipe évaluation
Charles-Édouard Notredame
Référent scientifique
Psychiatre de l’enfant et de l’adolescent au CHU de Lille, Charles-Edouard concentre son action et ses recherches sur le phénomène de contagion suicidaire, qu’il tâche d’appréhender par les prismes de l’épidémiologie, de la prévention, de la sociologie, des sciences de la communication, de la psychologie ou encore des neurosciences.
Pierre Grandgenèvre
Référent déploiement
Pierre est psychiatre au CHU de Lille. Au sein de l’équipe, il apporte une expertise en psychiatrie de l’urgence et de la crise et plus particulièrement dans la prévention du suicide. Son expertise clinique guide les actions de déploiement du programme sur le territoire national.
Amélie Porte
Médecin-psychiatre
Son travail porte sur l’étude de l’efficacité de l’intervention Papageno dans les écoles de journalisme à savoir, la modification des connaissances et des idées reçues sur le suicide, chez les étudiants en journalisme.
Stéphanie Verzaux et Joffrey Manchon
Médecins-psychiatres
Stéphanie et Joffrey travaillent tous deux au volet de l’évaluation du programme Papageno qui vise à mesurer l’efficacité de l’intervention sur la qualité du traitement médiatique des faits suicidaires (dans le respect des recommandations éditées par l’OMS).
Marielle Wathelet
Médecin en santé publique spécialisée en métrologie
Médecin en santé publique spécialisée en métrologie, Marielle se consacre à l’optimisation des modalités et outils d’évaluation employés dans le programme Papageno. Elle travaille à valider et compléter les échelles de mesure des connaissances et des représentations sur le suicide.
Margot Morgiève
Chercheuse en sciences sociales de la santé mentale
Margot développe des recherches cliniques et sociologiques dans le champ de la e-santé mentale. Pour Papageno, elle acompagne le déploiement d’Elios : un programme de prévention des conduites suicidaires des jeunes adultes via les réseaux sociaux.
Christophe Gauld
Médecin-psychiatre de l’enfant et de l’adolescent
Christophe a consacré sa thèse à définir les déterminants de la contagion suicidaire à travers un autre angle d’attaque : celui des faits fictifs, et plus particulièrement à travers l’étude de l’art cinématographique.